Minolta X300, résurrection…
Le mini stage découverte du sténopé organisé par « l’atelier photo argentique » hier après-midi m’a donné envie de remettre en service mon Minolta X300, 1er reflex 24×36 argentique qui m’avait été offert il y a une vingtaine d’années. Il n’est pas tout jeune puisqu’il s’agissait d’un 2éme déclic FNAC quand ce magasin disposait d’un rayon photo des plus complets, avec donc une multitude de produits d’occasion.
Ce boitier, équipé d’un simple mais très lumineux 50mm F1,7 m’a servi entre autres pour faire les photos dès la maternité, de ma grande née en 1999.
Pour le rendre opérationnel il m’a suffi de changer les 2 piles nécessaires à la mesure de lumière. Je vais l’utiliser avec du négatif noir et blanc afin d’assurer moi-même le développement puis le tirage papier avec les conseils et le matériel de « l’atelier photo argentique ».
Cette démarche, plus qu’un retour un arrière est surtout un retour aux sources de la photographie telle que je l’avais découverte à travers ce boitier, avec son mode à priorité à l’ouverture ou manuel. Lors de la reprise en mains de cet après-midi j’ai été bluffé par la visée d’une très grande qualité par son confort, sa clarté, sa précision, autant d’éléments que j’avais oublié depuis. Bref, faire une mise au point manuelle est un vrai plaisir avec ce X300.
Par contre sur les premiers clichés faits cet après-midi je me suis surpris à porter le regard à l’arrière du boitier une fois la prise de vue effectuée, vous avez dit conditionné…
Il me tarde maintenant de me jeter dans le bain (de révélateur) du développement en laboratoire.
bonjour
bravo pour ce retour aux sources!
a cette époque on composait sa photo avanrt de declencher !
rien a voir avec le numerique ,par contre le developpement et les tirages necessitent du temps et de la passion.